Hier soir avec ma Chérie, je rentrais de mon jogging lorsqu’elle a crié à travers l’appart’ :
– Il y a Ernesto et Igor qui passent tout à l’heure.
– Ah bon ? puis j’ai grommelé tout bas : Mince, j’avais justement envie ce soir.
– Oui, ils viennent prendre un verre après leur sortie-théâtre du mercredi, et il faudrait que tu m’aides à faire le …
Là, elle s’est arrêtée, l’oeil tout chose d’un coup. Elle venait d’arriver dans l’entrée et moi de retirer mes Nike. Ce n’étaient pas vraiment mes chaussettes qu’elle matait.
– Mais … tu bandes !
Je ne sais pas à quoi j’avais pensé en courant mais le fait est que j’avais une belle bosse. Elle a enchaîné, décidée et carnassière :
– Viens par ici, toi.
Chez nous, la salle de bain se trouve juste sur la gauche dans le couloir qui fait office d’entrée, et c’est là qu’elle m’a entrainé en me baissant le short sur les chevilles, face au lavabo.
– Tu es beau.
Nous nous regardions dans la glace et comme d’habitude lorsqu’elle me dit ça, je ne savais quoi répondre. Cela dit, j’avais le T-shirt humide, juste aux bons endroits, et la queue bien raide dans sa main ; dans une certaine mesure, oui, je me trouvais plutôt pas mal hier soir, à 19h34′.
Alors elle a commencé à me masturber, au-dessus du lavabo, mais au bout de 30 secondes, je l’ai arrêtée :
– Attends, attends ; tu ne veux pas que je me réserve pour cette nuit ma Chérie ? après Ernesto et Ig…
– Non, je veux te faire jouir maintenant. Et puis, j’aime tant te branler.
Elle me souriait dans le miroir et sa main experte me trayait si bien le gland que je me suis laissé faire. J’ai posé mes mains de part et d’autre du lavabo et, légèrement penché en avant, me suis observé dans le miroir. Jeu étrange : les yeux dans mes yeux, je me voyais peu à peu perdre le contrôle. Mes narines frissonnaient, mes lèvres s’entrouvraient de plus en plus en réaction à ses deux mains, l’une m’astiquant le manche, avec vigueur maintenant, et l’autre me malaxant les fesses, à droite, à gauche, dessus, entre, et dessous jusqu’à m’en attraper les bourses.
– Lève ton T-shirt, comme j’aime.
Je l’ai passé rapidement derrière ma nuque tout en gardant les bras dans les manches. Elle s’est mise à m’embrasser le torse, à me lécher à petits coups les tétons.
– Viens, jouis pour moi mon Chéri, laisse-toi aller.
Comment résister ? J’en ai mis partout : sur les robinets, dans le lavabo, et même sur le miroir dans un dernier spasme. Ma chérie adore me faire jouir aux ordres : elle me dit « Viens, jouis. » et moi je lâche prise, et la purée.
Aussi sec, elle est alors sortie de la salle de bain puis est revenue au pas de charge avec un torchon, une éponge, mes gants de ménage et la crème à récurer.
– Tu t’occupes de la salle de bain. Moi, je passe l’aspi.
Je vacillais, les deux mains encore agrippées au lavabo.
– Un baiser ; donne-moi un baiser, et je m’y mets.
Alors ma Chérie s’est approchée et m’a embrassé … le bout du gland.
– Au boulot !
– Pfff !!! je lui ai répondu, mais elle n’était déjà plus là, et j’ai commencé à frotter.
10 minutes plus tard, elle est revenue en mode blitzkrieg pour me rouler la pelle du siècle, avant de repartir aussitôt.
Quelque chose me dit qu’après Igor et Ernesto …