Elle a le c.. plein et moi les c……. vides.
C’est dimanche, et lovés serrés au fond du lit, nous rêvassons ensemble et prenons enfin du temps pour nous. La dernière goutte est sortie il y a bien une demi-heure maintenant. Je l’ai essuyée sur les draps, après le petit tour réglementaire aux wawa. C’est bien beau la sodo sans capote, juste que ça oblige à sortir du lit après. Mais j’aime assez finalement : Marco encore bien raide, je me le douche tranquillou dans le lavabo, heu-reux.
((((((Cela dit, je dois sûrement avoir l’air con sur la pointe des pieds (le lavabo est un poil trop haut) Du lit, elle peut me voir, les fesses contractées par l’effort et en équilibre instable … et elle me le dit, pfff !))))
Mais contrairement aux dernières fois, je retourne au lit avec l’intention d’y rester plus de dix minutes. Au diable les copies à corriger, la carrière de sexcrivain ceci, le ménage cela. Cet aprem’, c’est glandouille.
Et d’ailleurs, en parlant de glandes … je retourne au lit, donc, et là : pof, elle colle direct sa main chaude sur mes couilles.
C’est nouveau, ça. Elle caresse ici, tire un peu par là. Sa main monte, descend, tourne, explore gentiment, suivant plus ou moins le rythme de sa voix qui parlent de tout autre chose. Des histoires d’Erosticratie – une asso – vous connaissez ?
J’ai toujours aimé les femmes un peu (beaucoup) rebelles, les allumeuses, les croqueuses d’hommes et de Doms, même si je me suis souvent pris la bite dans le tapis avec elles.
Mais lorsque parfois je trouve le bouton, le truc dans leur esprit avec lequel je peux les chopper, ne plus les lâcher et les faire grimper au rideau avec, quel exquis plaisir !
Pour l’une ce sera mes petits scénarios, pour l’autre mon sexe ou ma façon de manier la ceinture, et pour une troisième le fait que je n’en ai rien à foutre d’elle, que je lui dis, que je lui montre, et qu’elle se demande si c’est vraiment vrai ce que je dis mais-à-la-fin-comme-je-la-prends-dans-mes-bras-et-lui-dis-des-mots-doux-ouf-tout-ça-c’est-pour-de-faux-mais-mon-salaud-quand-tu-m’as-appelée-petite-connasse-j’y-ai-vraiment-cru.
Clochette, c’est l’exception qui confirme la reine !
Car une timide et douce comme elle, c’est juste pas possible. Pas de jeu du chat et de la souris avec elle. Ou alors avec une souris qui viendrait tout doucement et d’elle-même vers le chat et se laisserait retourner et mâchouiller dans tous les sens en ronronnant.
Tenez, il lui a fallu deux ans et demi pour me faire aujourd’hui ce truc que j’adore : me caresser les jumelles en tapant la converse.
– Aparté :
Les femmes peuvent se classer en deux grandes familles : les « main-haute » , celles qui aiment câliner le torse de leur Jules après le coït, et les « main-basse » , celles qui s’endorment avec les roubignoles du-dit Jules bien au chaud dans leur main.
– Fin de l’aparté.
Hier donc, ma timide a pris possession de mes couilles et les a malaxées pendant une bonne demi-heure en me demandant de faire des phrases. Infernale !
Mais j’aurai ma revanche, clito ou tard.
Le prochain weekend, c’est bien samedi ?